Présentation des rapports finalisés des indicateurs 6.3.2 et 6.6.1

  • Cf rapports ;
  • DGPRE, OLAC, PEPAM, Assainissement travaille sur le 6.3.2 en rapport avec la DPN et la DAMCP qui intervienne plus sur le 6.6.1.
  • 33 % de conformité des eaux souterraines et non-conformité des plans d’eau superficielles, qualité des eaux en étiage et situation de crue à compléter à partir du rapport ;
  • Les résultats de la variation des quantités d’eau à voir dans les rapports de situation de référence ;
  • Des suggestions faites sur la précision des outils de collecte utilisés pour les données de référence et les données cibles, et sur l’analyse de l’implication politique des données
  • Présentation de l’indicateur 15.2.1 : Progrès vers la gestion durable des forêts (DEFCCS)
  • Présentation des Gaps de politique, des problèmes et défis relatifs surtout à la définition du FRA relatif à l’utilisation des terres et la grandeur mesurée par d’autres outils tels que le datacube qui mesure la couverture forestière.
  • L’ODD 15.2.1 est constitué de 5 sous indicateurs ;
  • Choix de la zone d’étude, forêt de PATA dans la région de Kolda, très agressée ;
  • Période d’étude entre 2000 (période de référence) et 2017 (période d’analyse) ;
  • Production des indices de végétation à partir des deux mosaïques. 973 ha de déforestation à PATA.
  • Les résultats trouvés sont intégrés dans la plateforme FRA, qui renseigne les deux indicateurs 15..1 et 15.2.1 (ainsi que leurs sous indicateurs, dont le renseignement ne pose pas problème pour le Sénégal, Cependant le data cube peut aider à trouver les valeurs de déforestation à rentrer dans le FRA) ;
  • Toutefois le datacube ne permet pas de considérer le pays dans sa globalité ;
  • Production de résultats pour les régions de kolda, Sédhiou, Ziguinchor ;
  • Pour Sédhiou entre 2000 et 2017, 3430 ha touchées par la déforestation, Kolda 7345 ha et pour Ziguinchor 5974 ha ;
  • Les résultats sont sous réserve d’une validation sur le terrain.
  • Les implications politiques des résultats permettraient d’orienter les investissements ;
  • Le datacube pourrait constituer un outil homogène de mesure de la déforestation ;
  • Nécessité de divulguer les processus de traitement des shape files pour pouvoir étendre au territoire national ;
  • Nécessité d’une vérification des données sur le terrain ;
  • La prochaine réunion pourra discuter des problèmes d’extension du datacube pour aider les experts ;
  • Pour les implications politiques voir les documents de planification ;
  • Les données du datacube devront être comparées et traités avec les cartes d’occupation du sol selon la définition FRA pour définir les zones forestières ;
  • Sur le classement, c’est un statut, les activités menées sont des empiètements.
  • Signaler dans la problématique politique que c’est un hot spot identifié dans la LDN au Sénégal ;

 

  • Présentation de l’indicateur 14.5.1
  • Gaps de politique : nécessité de stabiliser les superficies, les limites administratives exactes maritimes du Sénégal surtout la ZEE, la Direction des pêches fait des efforts de conservation à travers les ZPP et les zones d’immersion de récifs artificiels (ZIRA). Cependant ces zones ne peuvent être comptabilisés car ne répondant pas à la définition d’une AMP tel que stipulé par l’IUCN, le datacube ne détermine pas par ailleurs les superficies d’eaux marines ;
  • Problèmes/défis : centraliser les efforts de conservation pour renseigner les 10 %, l’objectif d’Aichi. Nécessité d’améliorer les algorithmes du datacube pour renforcer l’autonomie ;
  • La DAMCP travaille avec ZEE : 159 000 km²
  • Les AMP en zones de pêche artisanale ne posent pas problème ;
  • La DPM, le CSE, la DAMCP, la DPN devront travailler ensemble pour déterminer la superficie maritime globale ;

 

  • DAPSA : indicateur 2.4.1
  • Défis : manque de capacité de manipulation des outils de collecte des données ;
  • 5 % des terres considérées comme productives et durables ;
  • Le calcul du coefficient de variation a été comparé et celui de l’imagerie est plus faible, donc plus précise.

 

Validation scientifique des données :

  • La plateforme pourrait être le grand niveau de validation ;
  • Trois niveaux de validation : (1) un comité ponctuel constitué des structures phares et pertinentes pour l’indicateur, (1-1) une exposition pour validation interne au sein des structures par le point focal (2) une exposition de la méthodologie et une validation par le groupe technique, (2-1) Validation par Brian de la Nasa, (3) une validation au niveau de la plateforme nationale.

Divulgation des données :

  • Capitalisation du processus de la plateforme, résultats, difficultés, problèmes et limites ;
  • Présentation du plan de rapport de capitalisation ;
  • Flyers technique pour les 8 indicateurs GPSDD/ARDC ;
  • Lien entre les résultats et la vie des populations concernés ;
  • Rajouter résultats et recommandations pour l’autorité ;

Prochaines étapes :

  • Envoyer tout le travail finalisé à faire par les structures ;
  • Regrouper les structures techniques pour la détermination de la limite administrative maritime ;

CR HUITIEME REUNION

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